Contact : contactlazonemarseille@gmail.com
La Zone est une revue numérique, dont la vocation est de publier les travaux de jeunes artistes qui produisent à Marseille ou qui y ont grandi, associés à des réflexions sociologiques et anthropologiques appliquées au territoire métropolitain marseillais. La Zone, c’est proposer un autre rapport à la ville, c’est la tentative de restituer une autre histoire de l’urbain.
“La Zone” fait appel à un imaginaire à la fois spatialisé et de marginalité.
Il s’agit d’une référence au ruban de terrain laissé vacant autour de Paris au XIXème siècle, voulu inconstructible, où sont peu à peu venus s’installer des chiffonniers, des ferrailleurs, dans de petites manufactures. C’est donc un espace créatif, en constante recomposition, étrange.
Qui sommes-nous ?
Agathe Mattei
Co-Présidente et co-fondatrice
Agathe aime les chats, ce qui se rapporte aux formes de dominations, et qui permet de les questionner. Mais sa passion, ce sont les films gore, et surtout les gialli de Dario Argento, parce que le sang c’est rigolo et que c’est un moyen d’exorciser la violence quotidienne.
Marseillaise dans le coeur et pour toujours, elle y est née et y a grandi, dans le centre-ville comme au Frioul. Elle est partie à Bordeaux, puis Bologne pour ses études, y a connu les journées pluvieuses et a voulu retrouver Marseille.
Le projet de La Zone est dès sa création sa passion : pouvoir partager des idées, fédérer des personnes venues de différents horizons, c’est quand même tip top.
Camille Mattei
Co-Présidente et co-fondatrice
L’univers de Camille peut être qualifié de bizarre, si l’on en croit les réactions de ses proches quand elle en parle : des films gores aux nouvelles de Clive Barker, toutes les oeuvres qui nourrissent son imaginaire posent la question du corps, des contraintes qu’il subit, de la violence sociale…
Elle est née et a grandi à Marseille, un peu à la Pointe Rouge, un peu au Frioul, et surtout beaucoup à Noailles et au Cours Julien. Quand on a une enfance entre ces lieux, on se rend forcément compte de la mosaïque qu’est cette ville, entre nature et milieu urbain construit.
On comprend donc facilement pourquoi elle s’est lancée dans l’aventure de La Zone : parler de la ville qu’elle aime, avec ses potes, et sous l’angle de la sociologie et de l’art, c’est vraiment ce qui manquait à sa vie.